[BXXBXDXY]

Tu sais,
Je suis déjà retourné aux endroits ou on allait,
Pour essayer de revivre ces moments
Mais tout à changé, tout à changé..
De rester la, immobile.. un bout de temps
A regarder les étoiles.. pour te contempler

Tu n’es plus la et je suis perdu
Tu n’es plus la et je suis pendu
A ce tabouret qui ne tient à un pied
Tu n’es plus la et je suis perdu
Je suis pendu, il n’a plus de pied

Je ne comprends pas cette vie
Je ne comprends pas cette vie

Pourquoi ?
Pourquoi tu n’es plus la ?
Je vais faire fais quoi ? je vie comment ?
Pourquoi ?
Pourquoi tu n’es plus la ?
Maintenant je vie dans le néant

Tu étais tellement pour moi
Tu étais tellement pour moi

[Alan Tréard]

Bonjour BXXBXDXY,

Alors je dois dire que le propos est clair et concis, pas de risque que ton poème soit interprété de travers !

J'ai aimé l'aspect excessif de ce poème dans le sens où il traduit une forme d'exaspération, peut-être un grand manque qui fait très, très mal.

Je dois dire cependant que tu aurais éventuellement pu passer par une phase de relecture pour soigner un peu la forme, de cette façon, le sentiment intime reste le même, et l'importance qui est accordée à la forme invite ton lecteur à se sensibiliser à cette détresse que tu traduis si bien.

Un grand merci à toi pour cette lecture !

[Rémi]

Salut,

D'accord avec Alan, une phase de relecture aurait été intéressante :

Je suis déjà retourné aux endroits ou on allait,

où

Mais tout à changé, tout à changé..

tout a changé

De rester la, immobile.. un bout de temps

là (à remplacer à plein d'endroit par la suite aussi)
Et le double point :       ..     n'est pas une ponctuation que je connais

A ce tabouret qui ne tient à un pied

ne tient pas ? plus ?
(tenir à un pied, je ne comprends pas le sens)

Je vais faire fais quoi ?

vais faire fais = ?

je vie comment ?

vis


En dehors de ces points-là sur la forme, le côté lancinant fonctionne pas mal :

Tu n’es plus la et je suis perdu
Tu n’es plus la et je suis pendu

A+
Rémi

[BXXBXDXY]

Merci de vos réponses, grandement, j'essaie d’écrire pour extérioriser un mal être, un sentiment, je ne suis pas fort en littérature,  j'aime malgré beaucoup lire, Nietzsche, Maïakowski, Freud, Salinger, bref...

Je ne suis pas très fort niveau français, et j'écris souvent comme Bukowski, pas de sa technique mais de la meme façon, désolé j'ai fais une faute en mettant faire et fais ,

A l'endroit ou l'on se voyait et partageait des moments ensembles, je parle d'une fille qu'est décédée très jeune à 18 ans, et avec qui elle a pu beaucoup m'apporter pour cela cette " métaphore avec le tabouret et pendu "

Désolé de mes non relectures, et autres fautes de français que je peux faire, j'essaie de m’améliorer, je ne suis pas très fort en français et écrit sous l'émotion, mais merci de vos retours . !

réellement