yoyo,
pour la continuité graphique des trucs déjà présentés ici, je viens avec un apport qui sera peut-être sujet à polémique, mais en vrai j'ai pas envie de discuter avec les psychophobes, donc si vous croyez que l'émotivité n'est pas le cadre de ce qu'on peut s'inter-programmer entre esprits humains, je vois pas ce que vous pourriez faire ici, en vrai et sans irrespect de ma part, juste, au bout d'un moment faut savoir, quoi...
je trouve que l'image traduit bien les cinq émotions fondamentales reconnues par la convention psy, et plus, elle donne à voir, sans valeur morale autre que sa teneur déontologique, comment on utilise la morale, du coup, encore une fois les psychophobes passez votre chemin, ici on considère que l'émotion est ce qui se fait d'incident dans ce qu'on pense, ce qu'on ressent, et donc, ce qu'on décide, ce qu'on agit, et ce au travers du filtre du langage, dont certains mots traduisent les concepts relatifs à l'état psychique que celui-ci peut traduire, et souvent, même, veut traduire, quoi qu'on puisse vouloir éviter ou nier dans l'expression...
voilà, tout ça pour décrire, en fait :
- un
outil littéraire si vous voulez, ça peut orienter clairement les directions des dialogues, de la cohérence de réactions de personnages d'une fiction, ou de comment écrire un pamphlet si on sait à qui on s'adresse et qu'on veut savoir comment, ou de quelle approche envisager la teneur sensible d'un poème, etc...
- un
outil de langage puisque c'est le sujet, à savoir les moyens pratiques pour communiquer au mieux un message, qui est donc, le plus souvent par prérogatives, quoi qu'on pense de la valeur utile des langues flood, porteur par l'expression, d'un besoin ressenti et à communiquer...
- un
outil de pensée, plus largement, car oui attention mesgens psychophobes, parait-il que penser se fait avec des émotions, et que même votre esprit aussi cartésien soit-il, n'est pas le fruit d'une logique purement et simplement combinatoire, mais j'vois plus quoi vous dire à force, moi faut juste arrêter la dichotomie 'sérieux/pas sérieux'...
faudrait que j'y travaille un peu, personnellement, ptetr
parce que savoir, c'est bien
pratiquer, c'est mieux
du coup c'est soit je reste à l'ouest des messages et des besoins de chacun
soit je potasse un peu ce truc et j'essaye de piger ce là où qui ressent quoi
plutôt que ce que je ferais naturellement, à savoir me chercher moi-même
et me retrouver dans la relativité forcée des valeurs qui font sentir ces trucs
hu
source là