[Olaf]

Hello. J'aime beaucoup aussi ce que vous avez posté, surtout quand vous avez changé l'orientation du texte
Mention spéciale aux trombones au vaudeville et à Ladykiller.

[Claudius]

Un autre essai timide :

J'ai vu un reportage animalier hier soir, terrifiant de vérité. C'était en Afrique. Un troupeau d'antilopes magnifiques, broutant sans peur. Tigre et lion sont à l'affut, tuer pour survivre. Un petit égaré que les lionceaux ont mangé. Le tigre attendra son tour.

J'ai vu un reportage, c'était en Afrique. Un troupeau d'antilopes magnifiques, broutant sans peur.  Tigre et lion sont à l'affût, tuer pour survivre. Un petit égaré que les lionceaux ont mangé. Le tigre attendra son tour.

J'ai vu un reportage. Un troupeau d'antilopes magnifiques. Tigre et lion sont à l'affût. Un petit égaré que les lionceaux ont mangé. Le tigre attendra son tour.

J'ai vu un petit égaré que les lionceaux ont mangé. Le tigre attendra.

J'ai mangé le tigre.

[Rémi]

Oui ! 

[Yöda]

Allez, faut que je me remette à participer 
C'pas facile en suivant les consignes de 10 mots max à élaguer, en fait. Mes premiers paragraphes étaient biiiiiiiiiiiiiiien plus longs à l'origine (avant que je revérifie les règles) 

***

Les journées défilent sans surprise sur le banc de philo. C'est déconcertant de chercher le bonheur. C'est pas assis là avec un sourire pour présence que je parviendrai à lui.

Les journées défilent. Surprise sur le banc de philo. C'est déconcertant : le bonheur est assis là, avec un sourire à lui.

Les journées défilent sur le banc. C'est le bonheur, assis là avec lui.

C'est le bonheur avec lui.

C'est Lui.

[Rémi]

Lila, tu as un "voir" qui s'est transformé en "voit" 
Et que de noir !!! Une infinité

Yöda, c'est très chouette. Je me suis permis d'espacer les paragraphes, qu'on y voit plus clair.
Les suppressions fonctionnent vachement bien, et l'histoire évolue d'une gentille désespérance vers le bonheur, c'est cool

[Yöda]

Pas de problème pour les espacements, et merci 

J'aime beaucoup ton foin coupé, les bonbons de Milla et la Marguerite de Mary 

[Marygold]

Yödaaa !

Comme dit Rémi, ça fonctionne vachement bien, et l'évolution est super chouette !

[Become]

Désolé, vous n'êtes pas autorisé à afficher le contenu du spoiler.

Plus j’y pense, plus je me sens coupable. On est vraiment stupide. Pourquoi ne pas avoir traité le versant de la feuille ? Quel fou. En plus, on en discute souvent, avec la prof. Comment lui annoncer ? Elle me rit tout le temps au nez.

Plus j’y pense, plus je me sens coupable. On est stupide. Pourquoi ne pas avoir traité le versant de la feuille ? Quel fou. En plus, on en discute comment ? Elle me rit tout le temps au nez.

Plus j’y pense, plus on est stupide. Pourquoi ne pas avoir traité le versant de la feuille ? Quel fou. En plus, on me rit tout le temps au nez.

Plus j’y pense, plus on est traité de fou. En plus, on me rit tout le temps au nez.

Plus on est de fous, plus on rit. (Ouiiii)

[Rémi]

 
Je l'ai senti venir, mais ça fait son petit effet
(et, sino, c'est quoi "traiter le versant de la feuille" ?)

[Become]

Ah mince on le sent venir ? Hmpf c'est pas assez subtil ...
Euh le verso de la feuille plutôt ?

[Rémi]

Oui, verso sera mieux !

Edit :
sinon c'est chouette hein !
(mais tu as enlevé 12 mots à la fin et changé un fou en fous 
Hein, je suis lourdingue ? meuuunon ! si un peu quand même )

[Rémi]

C'est vrai que ce n'est pas simple... C'est bien de t'y frotter Lila

C'est l'histoire d'un jeu, la chasse du Mammouth Éclairé. Le dixième de seconde qui vous manque pour l'attraper, vous ne l'avez plus. C'est mort pour vous !

C'est un jeu, la chasse du Mammouth Éclairé. Le dixième de seconde pour l'attraper, vous ne l'avez plus. C'est mort pour vous !

C'est un jeu, la chasse du Mammouth Éclairé. Le dixième, vous ne l'avez plus. C'est mort pour vous !

C'est un jeu du Mammouth Éclairé, le dixième. C'est mort ?


Bref, venez jouer !!! (et d'ailleurs, c'est le onzième, pas le dixième  )

[gage]

J'aime quand tu te reposes, allongée, comme ça, sous l'ombre des branches qui se balancent, dans la fraîcheur de l'herbe et les pâquerettes.

J'aime quand tu te reposes, allongée sous l'ombre des branches, dans la fraîcheur de l'herbe et les pâquerettes.

J'aime quand tu te reposes, allongée sous l'ombre des branches, dans l'herbe et les pâquerettes.

J'aime quand tu reposes, allongée sous l'ombre des branches, dans les pâquerettes.

Tu reposes, allongée sous les pâquerettes.

[Ashka]

J’ai cheminé à l’ombre des chênes.  Ils se penchaient sous le vent annonçant l’orage. Tout au bout de l’allée, la tour rêvée s’effaçait de nos mémoires et les oiseaux s’envolaient comme la musique de ta main.

J’ai cheminé à l’ombre des chênes sous le vent annonçant l’orage. Tout au bout de l’allée, la tour rêvée s’effaçait et les oiseaux s’envolaient comme la musique de ta main.

J’ai cheminé à l’ombre des chênes sous le vent. Tout au bout de l’allée, les oiseaux s’envolaient comme la musique de ta main.

J’ai cheminé à l’ombre des chênes. Les oiseaux s’envolaient de ta main.

J’ai cheminé à l’ombre de ta main.

[Vilmon]

Il était un homme qui avouait timidement aimer les fleurs, surtout perlées de gouttes après les pluies.  Pour leurs parfums, il les adorait toutes, mais n'en recevait jamais puisqu'il était un homme.  Comme il serait heureux aujourd'hui de pouvoir admirer toutes ces magnifiques fleurs qui coulent sur son cercueil.

Il était un homme qui avouait aimer les fleurs après les pluies.  Il les adorait toutes, mais n'en recevait jamais puisqu'il était un homme.  Il serait heureux aujourd'hui, toutes ces magnifiques fleurs qui coulent sur son cercueil.

Un homme avouait aimer les fleurs après les pluies.  Il les adorait, mais n'en recevait jamais.  Il serait heureux aujourd'hui, ces magnifiques fleurs coulent sur son cercueil.

Un homme avouait aimer les pluies, mais n'en recevait jamais.  Aujourd'hui, ces magnifiques coulent sur son cercueil.

Les pluies, aujourd'hui, coulent sur son cercueil.