Ils proposent apparemment leur propre définition du genre :
« le fantastique qui interroge sur la vie et la mort, l’existence et d’autres mondes ; la fantasy qui permet d’évoquer la relation à l’autre, aux coutumes, aux chocs entre les peuples, à l’émerveillement face à la magie ou à la nature ; et la science-fiction qui nous met en garde contre les dangers de la société de demain en cas de mauvaises décisions. »
qui est effectivement très large.
Remarque : si le merveilleux possède certaines qualités, le conte lui-même bénéficie de différentes tendances, je devine que la revue se laisse la liberté d'orienter ses choix de sélections vis à vis des habitudes de son lectorat, des attentes quant à la ligne éditoriale (je ne connais pas très bien cette revue).
J'imagine qu'ils souhaitent s'essayer à des choses originales pour eux, qu'ils essaient un peu d'innover leurs publications (c'est dans l'ordre des choses pour un magazine).
Si le conte devait revenir à la mode, je ne me plaindrais pas !!